Bonjour,
Moussa Nabati encore
Comme le laissait supposer mon dernier article sur ce blog, concernant Moussa Nabati, je me suis mis récemment à étudier la psychogénéalogie. Moussa Nabati décrit dans tous ses livres l'impact de nos ascendants, de la grossesse de notre mère, de notre enfance puis de notre vie ensuite. J'ai lu dernièrement la plupart de ses livres. Son style est aiguisé, affuté, terriblement clair, limpide, imagé, précis, illustré de nombreux cas de figure. Je recommande sa lecture encore une fois.
Découverte de la médiathèque de quartier
J'ai donc cherché à en savoir plus sur la psychogénéalogie. Je me suis alors rendu à la médiathèque de mon arrondissement de Paris, où, gratuitement, j'ai pu emprunter jusqu'à vingt livres pour trois semaines.
Un ouvrage fait d'interviews sur la psychogénéalogie
Je suis donc en train de lire J'ai mal à mes ancêtres, la psychogénéalogie aujourd'hui chez Albin Michel. Constitué de nombreuses interviews notamment du Pr Anne Ancelin Schûtzenberger, une des personnes qui a démocratisé la psychogénéalogie en France. Egalement, une interview de Alexandro Jodorowsky, le célèbre auteur de bandes dessinées (l'Incal, la Caste des Méta-Barons), qui s'est intéressé de très près à la psychogénéalogie. Enfin le célèbre Serge Tisseron est interviewé également, sur le sujet, auteur de nombreux best-sellers en développement personnel. Ce livre s'avère être passionnant, chaque interviewé ayant développé des compétences particulières et spécifiques en psychogénéalogie.
Bravo au magazine Psychologies
J'ai aussi parcouru le site du magazine Psychologies, sur la psychogénéalogie, et je l'ai trouvé très bien fait également. Ce site conseille notamment de constituer une sorte d'arbre généalogique psychologique avec les principaux évènements familiaux pour se réconcilier avec son passé et ses ancêtres. Ensuite on peut, si on le souhaite en recréer un imaginaire avec nos héros et nos modèles.
Les limites de la psychogénéalogie
J'ai bien conscience que la psychogénéalogie n'est pas une science exacte, comme la psychanalyse ou l'étude du body language. Mais explorer le passé de soi jeune et de ses ancêtres s'avère très instructif sur les répétitions, les types de caractères familiaux (anxieux, colériques, artistes...). Cela me paraît vraiment intéressant, indispensable et passionnant.
Confidences de psy
Dans un autre domaine, j'ai découvert le dernier ouvrage collectif dont la rédaction a été dirigée par Christophe André, à savoir Les psys se confient, pour vous aider à trouver l'équilibre intérieur chez Odile Jacob. Ce livre se lit facilement et chaque psy livre une partie de son cheminement pour exercer ce métier si particulier. De bons passages, de bons moments, une bonne lecture. Facile d'accès.
Ouvrage sur la préparation mentale
J'ai beaucoup aimé également le livre Et si j'avais un mental de gagnant de Sébastien Thomas. Cet opus, écrit par un coach mental et sportif, donne des clés pour assurer le changement et réaliser ses rêves. J'ai particulièrement aimé le passage "la performance est conditionnée par, conjointement, l'effort et le plaisir" ou le très gros article sur la définition de ses objectifs et de ses rêves. C'est très clair, facile à lire, rapide à parcourir et on y trouve quelques pépites.
Un nouveau magazine dans les kiosques : Optimiste
J'ai acheté le magazine Optimiste (premier numéro paru ce mois-ci). C'est pas mal, mais peut mieux faire. J'ai surtout apprécié les petits encadrés qui citent des professionnels du développement personnel qui donnent des conseils sur tous types de sujet (changement de job, vie en couple...). J'ai particulièrement remarqué Sylvie Lavallée, sexologue québecoise, qui est citée dans ce journal et dit, ce qui m'a beaucoup plu : "plus on est tolérant, moins on a confiance en soi". J'ai bien aimé le passage sur Marc Saunder, gérant de Nexmove, cabinet de conseil en évolution.
A bientôt.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire